Patricia

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jeudi 1 octobre 2015

Drépanocytose, avancées en RDC 

Pendant que sur le terrain les ONG de lutte contre la drépanocytose continuent leur labeur voué à la sensibilisation, le dépistage et la prise en charge des malades , le ministère de la santé à travers son organe technique le programme national de lutte contre la drépanocytose, PNLCD en sigle pauffine de nouvelles stratégies pour l'avancement de cette bataille. Dans l'enseignement primaire et secondaire seront mis à la disposition tant des enseignants que des élèves des manuels pour renforcer le niveau de connaissance de ce fléau, une manière d'agir en amont par la prévention primordiale.
D'autres part les bourgmestres de la ville province de Kinshasa seront sensibilisés sur la drépanocytose afin d’accroître le niveau de responsabilité des futurs mariés face à se fléau.
Il s'agit ici de rappeler que plus de 30 % de la population est porteuse du trait drépanocytaire ce qui implique une attention très particulière sur cette maladie de la douleurs qui déstabilise l'équilibre familial.
Kinshasa la capitale aura la responsabilité de lancer officiellement cette activité à laquelle toutes les autres provinces devront s'aligner.Les futurs mariés étant avertis ne prendront pas le  risque de s'engager sans s’être testé au préalable. Un homme averti en vaut deux dis t-on ! 

La femme politique en RDC

Aperçu de la femme politique en RDC

     Système électoral en RDC. De g àd,Nadia,Patricia , Gabrielle et Georgette. ARC,15 Août 2015
Contrairement à ses homologues de l'Afrique du Nord ;de nombreux effort ont été fourni en RDC pour promouvoir la femme en politique . Son adhésion dans les partis politiques est appréciable mais sa participation à des postes de responsabilités reste encore faible. 

La femme a donc le devoir de mettre les bouchées doubles et se tailler une place à l'horizon.

Quelles en sont les principales causes? Les contraintes culturelles plaçant la femme comme maîtresses du foyer et de ce fait vouée uniquement à la reproduction et aux taches ménagères ,les préjugés sexistes ainsi que les stéréotypes auxquelles la femmes est injustement attachées sont les principales raisons de sa faible participation.

L'éducation formelle dans un contexte de pauvreté ou la primeur des études est dévolue aux garçons plutôt qu'aux filles est une autre cause de la faible participation de la femme en politique.
La qualité de l'enseignement fourni au niveau primare et secondaire devaient à une certaine mesure  servir de socle et orienter les enfants dans la sphère politique . Plus tôt la politique est apprise aux enfants, meilleur sera le produit final et plus responsable seront les représentants du peuple dans les institutions de la république.
De Kimpa Vita ,Sophie Kanza ,Nzuzi wa Mbombo,à Marie Ange Lukiana  pour ne citer que celles là la flamme s'est allumée et il s'agit de la maintenir allumée par un travail ardent qui incitera l'implication d'autres femmes dans l'espace politique, dans la gestion de la république,