Patricia

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vendredi 25 mars 2016

Parcours des Femmes et des Hommes en Politique avec NDI

L'assemblée des Nations Unies, le 19 décembre 2011 a adopté la résolution 66/130 visant la participation des jeunes et des femmes à la politique indiquant que celle-ci éliminerait les discriminations qui font obstacle à l'instauration et la consolidation de la démocratie.
En février 2014, l'USAID et l'institut américain NDI ont lancé le programme Tomikotisa visant à renforcer les capacités des femmes et des jeunes et d'améliorer l'interaction entre les partis politiques et la population.
Ayant assisté à plusieurs formation depuis son lancement  un resultat positif déjà à signaler est la collaboration entre les femmes et jeunes issus des partis de l'opposition aussi bien que de la coalition au pouvoir . En ce qui concerne l'entrée de l'ARC dans l'opposition , l'adaptation à été  rendue  facile
grâce aux contacts pré-existant avec les partis autrefois de l'opposition par l'entremise de NDI/ Tomikotisa .
Les partis politiques concernés par ce financement sont: l'UDPS, le MLC, UNC, l'ARC, le PPRD ainsi que l'AFDC .
Chaque parti politique a dû élaborer son plan stratégique et il a été suggéré de former un comité de suivi dont la principale mission est de suivre et évaluer les principales activités et en faire rapport à leurs partis politiques respectifs.
Votre humble servante en fait partie. La politique reste une école où les acteurs doivent se former et s'informer.

Message de l' ONUSIDA a l'intention de la JIF

Le respect des droits humains des femmes est essentiel pour créer un monde plus sûr, plus juste et plus sain Message de Michel Sidibé, Directeur exécutif de l’ONUSIDA, à l’occasion de la Journée internationale de la femme GENÈVE, 8 mars 2016 – À l’occasion de la Journée internationale de la femme, la communauté mondiale doit réaffirmer l’engagement qu’elle a pris de faire pleinement respecter les droits humains des femmes ; cette obligation morale est la garantie d’un monde plus sûr, plus juste et plus sain. L’autonomisation de générations de femmes et de filles, et l’abolition des inégalités entre les sexes sont des composantes essentielles des Objectifs de développement durables et incontournables si l’on veut mettre fin à l’épidémie de sida à l’horizon 2030. Malgré quelques progrès en direction de l’égalité des sexes dans certains domaines, comme l’éducation et la représentation politique, de nombreuses inégalités subsistent. Le rythme de la réduction de ces inégalités est d’une lenteur intolérable. Les femmes continuent par exemple d’être beaucoup moins rémunérées que les hommes et restent confrontées à des problèmes d’accès aux services de santé essentiels, notamment de santé sexuelle et reproductive. Chaque jour, plus de 40 000 filles sont mariées avant l’âge de 18 ans1 , les complications liées à la grossesse et à l’accouchement demeurent la deuxième cause de décès chez les adolescentes âgées de 15 à 19 ans2 et l’on estime à environ 120 millions le nombre de filles victimes de viols ou de rapports sexuels contraints à un moment de leur vie dans le monde3 . Les vulnérabilités et les risques associés au VIH sont étroitement liés aux inégalités entre les sexes inhérentes au tissu politique, économique et social de nos sociétés. Les maladies liées au sida sont la principale cause de décès des femmes en âge de procréer au niveau mondial. En 2014, on estimait à environ 220 000 le nombre de nouvelles infections à VIH chez les adolescentes âgées de 10 à 19 ans et les adolescentes représentaient 62 % des nouvelles infections dans ce groupe d’âge à travers le monde. En Afrique subsaharienne, les adolescentes de 10 à 19 ans représentent 72 % de l’ensemble des nouvelles infections à VIH dans ce groupe d’âge. La violence sexiste et l’absence de contrôle sur les décisions qui affectent leur propre vie accroissent le risque d’infection à VIH chez les femmes et les filles. Une semaine avant la soixantième session de la Commission de la condition de la femme et trois mois avant la Réunion de haut niveau de l’Assemblée générale des Nations Unies sur la fin du sida, la communauté mondiale doit prendre conscience des liens indéniables qui existent entre l’instauration d’une justice sociale et l’établissement d’un socle pour mettre fin à l’épidémie de sida. Personne ne doit être laissé pour compte. 1 https://plan-international.org/child-marriage?gclid=COSA7uzWpssCFUwq0wodMsIBvQ. 2 http://www.who.int/mediacentre/factsheets/fs345/en/. 3 Hidden in plain sight, http://www.unicef.org/publications/index_74865.html. 2 L’approche d’accélération de l’action de l’ONUSIDA en vue de mettre fin à l’épidémie de sida a fixé un ensemble d’objectifs assortis d’échéances, notamment réduire le nombre de personnes nouvellement infectées par le VIH de 2 millions en 2014 à moins de 500 000 en 2020, réduire le nombre de personnes décédant de maladies liées au sida de 1,2 million en 2014 à moins de 500 000 en 2020 et éliminer la discrimination liée au VIH. Nous ne pourrons pas atteindre ces objectifs sans progrès réellement significatifs de sorte que les droits humains des femmes soient respectés afin qu’elles soient libres de prendre des décisions éclairées concernant leur santé et leur bien-être. [FIN] Contact ONUSIDA Genève | Michael Hollingdale | tél. +41 22 791 5534 | hollingdalem@unaids.org ONUSIDA Le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) guide et mobilise la communauté internationale en vue de concrétiser sa vision commune : « Zéro nouvelle infection à VIH. Zéro discrimination. Zéro décès lié au sida. » L’ONUSIDA conjugue les efforts de 11 institutions des Nations Unies – le HCR, l’UNICEF, le PAM, le PNUD, l’UNFPA, l’UNODC, ONU Femmes, l’OIT, l’UNESCO, l’OMS et la Banque mondiale. Il collabore étroitement avec des partenaires mondiaux et nationaux pour mettre un terme à l’épidémie de sida à l’horizon 2030 dans le cadre des Objectifs de développement durable. Pour en savoir plus, consultez le site unaids.org, et suivez nous sur Facebook, Twitter et Instagram.

Source: ONUSIDA

jeudi 10 mars 2016


Le ministre de la Santé Publique Felix Kabange Numbi vient de baptiser cet avant midi au Centre Wallonie Bruxelles un ouvrage sur la drépanocytose intitulé "Drépanocytose, tout l'or du monde publié par le Père Henry de la Khetulle sous la coordination du PNLCD dirigé par le Docteur Fotto Patricia .

Y ont pris part ,le Professeur Honorable Mashako Mamba ainsi que plusieurs scientifiques et membres de la société civile luttant contre cette maladie douloureuse,la drépanocytose ou l’anémie SS. 

La RDC notre pays occupe au niveau mondial la troisième place après l'Inde et le Nigeria du point de vue prévalence . En ce 8 Mars nous souhaitons une bonne fête à toutes les femmes leur recommandant de se dépister pour offrir une enfance heureuse à leur enfants; vaut mieux prévenir que souffrir .
L'important à signaler ici est l'impact de la femme politique dans la société où elle prend déjà une part active .
Notre démarche est de rapprocher nos partis politiques à nos activités quotidiennes, il y a beaucoup à gagner lorsque nous rassemblons nos efforts.

La prévention de cette maladie reste le pilier le plus important sur lequel nous nous reposons, vous êtes tous invités à vous impliquer et nous seront prêts à venir vous sensibiliser et vous dépister dans vos entreprises, associations; partis politiques et autres milieux socio-culturel